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Laissez courir...

Moi j’ai passé le cap des 18 ans depuis quelques années, alors ce soir je me rince l’œil sur des sites pornos et je crois que ma libido est de retour. J’ai envie de baiser. Surtout depuis qu’un jeune éphèbe que j’ai sauté juste une fois  m’a relancer hier. J’ai bien envie de ressentir à nouveau sa peau douce et ses fesses bien rebondies contre mon pieu.

 

Ça n’a pas collé entre nous en fait, sauf le seul soir où j’ai pu le mettre dans mon lit. A l’époque j’avais pourtant envie de me stabiliser dans une relation. Lui c’était le genre à culpabiliser après avoir fais l’amour et qui se posait trop de questions.

 

Je suis aussi passé par là. Et je sais que lorsqu’il se libèrera de ses inhibitions et qu’il reconnaitra dans son fond intérieur qu’il aime la queue il deviendra une vraie bête.

 

Finalement quand j’y pense je me dis que la roue tourne. Je me souviens lorsque j’avais 19 ou 20 ans je suis allé chez un gars plus âgé que moi. On a parlotez et puis il m’a invité prendre une douche avec lui. A force d’insistance j’ai cédé, on s’est douché, je l’ai sucé et branler, lorsqu’il a jouit j’ai mis fin à ce petit jeu et je me suis cassé. Il n’a jamais eu l’occasion de me sauter et n’a plus jamais eu l’occasion de revoir mon corps nu. Depuis il n’a jamais cessé de me relancer.

 

A l’époque cette expérience m’avait bien dégouté. Bref, c’est juste pour dire que dès fois l’histoire se répète.

 

Mon jeunot je sais qu’il reviendra à moi pour un plan cul tôt ou tard, c’est juste une question de temps. Je lui donne la fausse impression que c’est lui qui mène la danse, qu’il peut me snober ou m’avoir dans son lit quand il le souhaite, mais en fait je prends mon mal en patience. Il retombera dans mes filets, et ce jour je « lui ferai ça dur ».

 

Comme dit souvent ma mère : «Laisse courir le bœuf, la cartouche l’atteindra toujours ».

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