Non ! Il n’y aurait définitivement pas de fin heureuse !!!
C’était le samedi d’il y’a bientôt 1 mois ou plus… Et pour une fois j’étais à l’avance à l’un de nos rendez-vous. L’ironie du sort voulait que ce soit le dernier. Je crois que j’avais vraiment hâte d’en finir…. J’attendais (impatiemment) assis à un banc public pas loin d’une station service. L’endroit grouillait de monde. J’étais la depuis une dizaine de minute seulement, mais cela me semblait être une éternité.
Il savait à quel point j’avais horreur qu’on me fasse poireauter, surtout dans des endroits aussi fréquentés… Alors il n’a pas cessé d’envoyer des messages tout le long de son trajet pour me donner sa position à chacun de ses déplacements. J’ai trouvé ça un peu touchant, mais ce n’était vraiment pas le moment de m’attendrir. J’étais là pour mettre fin à notre ‘’relation’’. Il voulait des explications ?? Il en aurait… Je m’étais déjà répéter mon speech 2 ou 3 fois dans la tête…
Il fini par se pointer, s’excuse de son retard et prend place à mes cotés sur le banc public. L’échange de politesses passé, il entre aussitôt dans le vif du sujet et me demande des explications. Il veut connaitre les raisons qui me pousse à rompre notre ‘’relation’’. Il me dit que de toute façon il s’y attendait, qu’un jour je le laisse tomber (sic) mais qu’il voulait au moins des explications. Il voulait me voir une dernière fois (sic) et avoir des explications de vive voix (maso apparemment jusqu’au bout…).
Je ne me suis pas fait prier. Je lui ai dit qu’on n’avait jamais été dans une relation en tant que tel, qu’on n’avait trop de choses qui nous séparaient et que pour son bien valait mieux qu’on prend des chemins différents car j’étais quelqu’un de toxique en amour.
Il m’écoutait sans rien dire, impuissant. Quand je me suis enfin arrêter, il a encore voulu plaider sa cause, mais la messe était dite. Il prêchait définitivement dans le désert… il allait (beaucoup) me manquer car je m’étais attacher à lui plus qu’à mes habitudes. Mais pour son bien il valait mieux qu’on cesse de se fréquenter…
Les premiers jours j’ai senti un réel manque, mais c’est vite passé. J’avais à nouveau de quoi m’occuper : le nouvel R…