Toujours dans ma lancée sportive. Mon corps se modèle petit à petit et j’arrive enfin à être à nouveau fière de mon ventre qui commence à (re)devenir tout plat. Les résultats ne sont pas encore super visibles (ça ne fait qu’un mois tout de même) mais j’arrive déjà à les sentir. Je rentre à nouveau dans certaines de mes chemises sans m’y étouffer.
J’ai à ma disposition 2 coachs super bodybuildés dont j’use selon la disponibilité de l’un ou de l’autre. Le 1er est assez mimi, mais la magie du début s’est vite estompée, j’arrivais plus à le blairer. Il s’est fait éclipser par le 2eme avec qui j’ai un peu eu du mal à démarrer à cause de son coté mystérieux et peu bavard. Il n’était pas super mimi mais nettement bien mieux sculpté que le 1er.
Sans tomber dans le cliché du gars super musclé, il avait tout de même des pectoraux bien saignants, un dos super musclé et des biceps hyper bien développé et dessinés.
Je préférais nettement les séances avec lui. Il n’était pas très bavard mais les séances étaient nettement plus soft.
Les 1ers jours on n’a pas fait aussitôt connaissance. On s’observait (ou plutôt je l’observais) à distance. Le déclic à eu lieu un jour où nous avons pris le même taxi et après qu’il se soit proposé de payer pour mon trajet. A partir de là on a commencé à se saluer, il a commencé à me vouloir de plus en plus dans sa team (d’élèves).
Des fois nos regards se croisent lorsque j’y mets de la volonté, des fois il me surprend entrain de le mater lorsqu’il est occupé à se muscler lui-même. Comme cette fois où je fixais longuement son entre-jambe et qu’il croyait que je matais son ventre qui semblait plus gros que d’habitude (il venait de manger). Il est aussitôt allé porter un survêt pour cacher son ventre. Que mon regard le gêne m’avait bien amusé ce jour !
J’attends souvent avec impatience la fin de chaque séance lorsqu’il me masse le dos et m’aide à faire des étirements et que l’on partage quelques mots (Tchiiip ! il n’est pas super bavard).
Mon gaydar ne capte rien pour le moment. Peut-être il est H.S. mas je ne désespère pas… pour une fois qu’une simple amitié me contenterait déjà grandement !